Archives quotidiennes : 31 juillet 2012

POUR REFLECHIR UN PEU

 

Une maman veuve va puiser de l’eau à la rivière en laissant son enfant endormi.
A son retour tout le village est autour de sa case qui est en feu.
Son fils est sur le point de mourir dans le feu dans la case.
Jetant sa calebasse d’eau par terre en pleurant elle veut entrer dans la maison en feu pour chercher son fils.
Les villageois tous le lui interdisent et disent: tu vas aussi mourir, le feu est très grand.
S’échappant de leurs mains, elle entre dans le feu et en ressort avec son fils bien enveloppé dans une couverture.
L’enfant serré dans son sein n’est pas touché par le feu.
La maman sort gravement brulée et les soins de  l’hôpital ne la récupère que  de justesse, mais elle reste avec des cicatrices et méconnaissable.
Bien des années  passèrent et l’enfant, sous l’encadrement de sa mère termina ses études et fut nommé ministre.
Alors qu’il organisait la fête pour sa nomination, il invita tous les hauts dignitaires de la ville et tous ses amis.
Alors qu’ils étaient en pleine fête un bruit si  fort se dégagea à la porte entre les services de sécurité et les invités qui continuaient à venir.
Le fils fut obligé d’aller voir et régler la situation.
Il trouva que les bruits venaient de sa mère qu’il n’avait pas invitée mais elle voulait aussi être à la fête, face à cette situation devant ses invités de marque, il dit tendrement à sa mère :
Attends maman j’aurai honte de te présenter devant mes amis. Il continua, nous pourrons nous revoir après.
En secret il donna l’ordre aux services de sécurité de renvoyer sa mère à cause des ses cicatrices.

 

 

 

 

 

YOSSA Marie,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Catégories : paradoxe | 12 Commentaires

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