» Un peuple qui ne sait pas que la politique est à lui, que c’est son affaire, ne peut pas faire de la politique. Il subit un pouvoir comme un destin, contre quoi on ne peut rien, puisqu’il n’existe même pas comme tel, tant qu’il colle à ce qu’on est: un pouvoir fragile ou tout puissant, mais toujours venu d’en haut, dans lequel on distingue mal l’autorité du chef, l’irrécusabilité de la tradition et la peur des dieux »
Francis Wolf
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